La création graphique d’une étiquette est une première étape, viennent ensuite les choix à faire pour l’impression d’étiquettes de vin, une multitude d’options existent alors, on peut dire que tout est désormais possible dans la limite d’un budget.
Dans un premier temps il faut déjà savoir vers quel type d’impression s’orienter, pour de faibles quantités il est en effet préférable de choisir une impression numérique, pour plusieurs dizaine de milliers d’exemplaires on choisira l’impression adhésive ou traditionnelle.
Le choix du papier est déterminant, il en existe des centaines de types différents : couchés, structurés, brillants, etc. , mieux vaut une impression sans effets particuliers sur un beau papier que l’inverse. L’étiquette peut ensuite s’enrichir de multiples effets parmi lesquels
– les dorures (or, argent, cuivre, bleu, rouge, etc.),
– le gaufrage (effet bombé), le foulage (effet creusé),
– les vernis (sélectif mat ou brillant, gonflant),
– les couleurs à chaud,
– les encres fluorescentes.
Avec l’impression numérique et adhésive on peut également partir sur des étiquettes avec découpes ou pour certaines créations choisir un support transparent comme cela se fait beaucoup dans le monde de la vodka.
Ces effets sont parfois mixables entre eux comme les dorures galbées qui sont une combinaison entre dorure à chaud et gaufrage. Évidemment tout ceci à un coût et donc idéalement il est préférable dès le début d’un projet de définir un devis.
L’impression d’étiquettes de vin offre donc désormais un éventail d’effets pour mettre en valeur une création, je conseille aux clients les plus soucieux du résultat final d’investir dans un BAT machine (épreuve imprimée ) qui donne la possibilité de voir le rendu final.